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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 09:26

Jamais, sous la Vème République, un Président n’avait aussi ouvertement bafoué un principe républicain au lendemain de son élection. En effet, alors que vient de s’ouvrir la campagne officielle pour les élections législatives, François Hollande et son Premier Ministre ignorent ouvertement l’un des principes républicain qui garantie la neutralité de l’Etat en période électorale.

 

En envoyant à Nîmes leur Ministre de la Ville pour une visite « officielle », ils balayent du revers de la main la pratique républicaine dite « période de réserve » qui interdit à tout membre du gouvernement d’user des moyens de l’Etat pour un déplacement pendant la campagne officielle d’autant que celui-ci revêt manifestement un caractère purement électoraliste, aucune rencontre avec le Maire de Nîmes n’étant envisagée par le Cabinet du Ministre.

 

Ainsi, après avoir accusé Nicolas Sarkozy pendant 5 ans de représenter une menace pour le maintien du pacte républicain, les Socialistes et leur candidat arrivés au pouvoir, avec l’arrogance qui les caractérisent, rompent ce pacte et font peser sur les contribuables français la campagne menée par leurs leaders pour les élections législatives. En utilisant les moyens de l’Etat au service de leur camp, ils montrent déjà l’usage qu’ils comptent faire du pouvoir que leur a confié le peuple français.

 

Nous exigeons du Président de la République nouvellement élu et de son Premier Ministre qu’ils respectent la République et annulent ce déplacement. S’ils ne le faisaient pas, les Français sauraient à quoi s’en tenir et les médias seraient alors bien inspirés de s’intéresser de près au contenu véritable de ce déplacement, au financement de la campagne du Parti Socialiste et de questionner le nouveau Ministre de la Ville sur l’interprétation qu’il fait notamment du communiqué de presse du Préfet du Gard publié le 8 mars dernier et dont nous vous joignons copie.

 

Pour ce qui nous concerne, nous saurons poser clairement la question de cette pratique inadmissible à la Commission Nationale des Comptes de Campagne lorsqu’elle sera amenée à examiner les comptes des candidats soutenus par le PS dans le Gard.

 

Jean-Paul Fournier                 Yvan Lachaud           Max Roustan
Sénateur du Gard                Député du Gard           Député du Gard
 
Jean-Marc Roubaud           Etienne Mourrut             Franck Proust
Député du Gard                 Député du Gard             Député européen 
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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 11:01

  Au moment où la compagnie Ryanair fait état de son inquiétude quant au maintien de son activité sur l’aéroport de Nîmes à la suite de l’enquête menée par la commission européenne sur les aides publiques apportées à cette compagnie à l’époque où cet équipement était géré par la CCI, il est important que l’ensemble des acteurs locaux et nationaux se mobilise pour la sauvegarde de notre plateforme aéroportuaire.

 

C’est pourquoi, j’en appelle aujourd’hui au nouveau Président de la République élu, ainsi qu’à son futur Ministre de l’Intérieur afin qu’ils garantissent la continuité de l’Etat dans ce dossier et plus particulièrement en ce qui concerne l’implantation de la Base d’Avions de la Sécurité Civile (BASC), aujourd’hui installée sur le site de Marignane.

 

En effet, depuis la fin 2011, le syndicat mixte de l’aéroport que je préside s’est battu sans relâche pour que le site de Nîmes soit retenu pour le transfert de la flotte de canadairs de la Sécurité Civile.

 

Le dossier que nous avons présenté à l’Inspection générale de l’Administration et les diverses réunions de travail que j’ai pu organiser avec le Préfet KIHLL, Directeur général de la Sécurité Civile ainsi qu’avec Monsieur Claude GUEANT, Ministre de l’Intérieur, ont permis à ce dernier de confirmer qu’entre les trois options qui avaient été envisagées, c’est le projet d’implantation de la BASC sur le site de Nîmes Garons qui était considéré comme le meilleur

 

Dès ce vendredi 11 mai, je rencontrerai à nouveau le Préfet du Gard et son Secrétaire général. mandaté avec le Directeur général de la Sécurité Civile par le Ministre de l’Intérieur pour aboutir dans ce dossier.

 

Le projet que nous portons devra, au delà de l’accueil de la BASC et de la création d’une véritable base de Sécurité Civile de dimension européenne, permettre de conforter l’activité et les emplois de la société SABENA Technics, titulaire du marché d’entretien des hélicoptères et avions de la Sécurité Civile. Ainsi, je demande solennellement  aux nouveaux responsables au plus haut niveau de l’Etat de tout mettre en œuvre pour l’aboutissement de ce dossier dans les meilleurs délais. 

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 08:34

Comment expliquez-vous la défaite de Nicolas Sarkozy, cinq ans après une si brillante élection ?

Il a tenu la plupart de ses engagements de 2007,effectué des réformes  parfois impopulaires mais notre électorat n'a pas compris qu'il appelle des ministres socialistes au gouvernement ou qu'il remplace Philippe Seguin par un socialiste. Je pense aussi que, sur la sécurité et l'immigration, nous n'avons pas été très bons. On a parlé de sécurité et en même temps on a retiré des policiers. Son style a peut-être irrité aussi, d'autant plus que les médias l'ont massacré. Pourtant, je pense que Nicolas Sarkozy a été un bon Président et, avec deux millions de votes blancs, Hollande n'a pas été élu par la majorité des Français.

 

Le score de François Hollande à Nîmes vous inquiète-t-il ?

Pas du tout, c'est une élection nationale. Et il ne fait pas un très bon score dans le Gard. Dans quatre circonscriptions sur six, Sarkozy arrive en tête.

 

Ce résultat ne vous incite-t-il pas à annoncer plus tôt vos intentions pour les municipales de 2014 ?

Pourquoi ? J'attends que Damien Alary soit un peu courageux, contrairement à la primaire PS où il n'a pas voulu choisir. Qu'il dise s'il est candidat à Nîmes et j'annoncerai ma candidature tout de suite. Ce serait un beau challenge.

 

Yvan Lachaud et les centristes ont parfois leurs états d'âmes. Ne devez-vous pas solidifier votre majorité municipale ?

Yvan Lachaud? Il a tout voté depuis onze ans et le groupe Nouveau centre fait son boulot. Je n'ai pas de problème avec Lachaud. On ne se voit pas tous les jours, mais c'est normal, il est président d'un groupe d'un peu plus de vingt députés. Dans son comportement local, il peut y avoir un peu d'opportunité mais si je me représente en 2014, il aura toute sa place sur ma liste. Par ailleurs, j'ai été conseiller général pendant vingt ans, j'ai vu les manœuvres de Baumet, Journet et Alary qui sont tenus en laisse par le PC; les rapports entre UMP et centristes, ça n'a rien à voir.

 

La division UMP-Nouveau centre aux législatives sur la 6ème circonscription fait quand même mauvais effet...

On n'est pas toujours d'accord sur la démarche nationale, mais hier soir, à Paris, la commission d'investitures UMP-NC aux législatives devait décider qu'il y aurait deux candidats d'union à Nîmes : Franck Proust sur la 6ème et Yvan Lachaud sur la 1ère. Je n'ai jamais cru à la candidature de Thierry Procida. Yvan Lachaud a défendu la cause de son candidat, ça fait partie du jeu politique, mais j'avais dit gentiment à Thierry Procida de ne pas user ses chaussures sur cette circonscription.

 

Aux législatives, la perspective de triangulaires vous inquiète-t-elle?

On va faire en sorte qu'il n'y en ait pas. Le FN devra réaliser plus de 12,5% des inscrits, ce n'est pas fait. Je pense qu'on est en mesure de gagner ces élections, notamment parce que les Français savent qu'il y a un risque de concentration de tous les pouvoirs par le PS. Ce ne serait pas bon.

 

Que dites-vous aux candidats UMP qui seraient tentés par des alliances avec le FN ?

 

Lundi, le bureau politique national de l'UMP a été très clair. Il n'y aura Pas d'accord. Jamais. Même si ça passe par la perte de sièges. Je crois Que nos députés ont fait du bon boulot et je suis sûr que le score du FN va se dégonfler automatiquement aux législatives.

 

Sur la 1ère circonscription, êtes-vous prêt à demander le retrait de Jacques Bourbousson ?

Je suis prêt à jouer l'intermédiaire. Il faut qu'on se voie avec lui et Yvan

Lachaud.

 

Comment voyez-vous l'avenir de l'UMP? Y a-t-il un risque d'implosion?

Non, je crois qu'il faut accepter les courants. Ça marche au PS, c'est vrai

qu'on est encore resté trop RPR à l'UMP. Après, il faut peut-être que le centre se recrée.

 

Parmi les leaders potentiels, Copé, Fillon et Juppé, avez-vous une préférence?

Jean-François Copé a fait un excellent travail au sein de l'UMP. Fillon a été un très bon Premier ministre, mais il doit être élu député et il doit être candidat à Paris. Quant à Juppé, je pense qu'il pourrait apaiser les choses, c'est un recours.

 

Souhaitez-vous rester secrétaire départemental de la future UMP ?

Ça fait seize ans qu'Alain Juppé m'a nommé à ce poste, au RPR d'abord,

puis à l'UMP. Il faudra bien songer à préparer des gens pour l'avenir, mais je vais peut-être faire l'affaire une fois de plus. 

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 17:22

Les Français se sont exprimés. Ils ont placé en tête le candidat socialiste, qui devient le nouveau Président de la République. Comme des millions d’électeurs, je n’ai pas fait ce choix, mais je souhaite, pour la France, au nouveau chef de l’Etat de réussir dans sa nouvelle tâche. Elle sera rude, très rude. En effet, pour continuer à sortir la France de la crise, permettre le retour à la croissance et rétablir les comptes publics, la situation exige de poursuivre les réformes avec la plus grande des rigueurs, le plus grand des courages.

 

Ces résultats sont indéniablement la conséquence directe de la crise qui touche le monde entier, et plus particulièrement l’Europe, depuis 4 années et qui a, malgré l’énergie et la pugnacité de Nicolas SARKOZY, fait souffrir les Français. Parallèlement, l’antisarkozysme virulent, caricatural et souvent outrancier, a été, je le pense, totalement dévastateur. Le moment viendra où certains devront faire leur autocritique sur ces démarches trop souvent stériles, bien loin d’une exigence démocratique et du respect républicain que chacun doit avoir pour un Président de la République.

 

Néanmoins, on peut constater que François HOLLANDE n’a pas bénéficié du raz-de-marée annoncé par les sondages. Si les électeurs ont choisi clairement l’alternance, sa courte majorité démontre que les idées défendues par Nicolas SARKOZY sont, je le crois, toujours d’actualité. La lutte contre les déficits publics, la défense de l’indépendance énergétique, l’opposition au droit de vote des étrangers aux élections locales, le renforcement de la sécurité de tous, l’amélioration de la compétitivité de la France, voilà les arguments forts que l’UMP et au-delà notre famille de pensée, devra défendre, notamment dans l’optique des législatives. Lors du rendez-vous électoral de juin, la France aura le choix entre la concentration de tous les pouvoirs locaux et nationaux par un clan, situation quasi-inédite sous la 5ème République, ou l’émergence d’une opposition réelle au sein des institutions. Nous devons lutter impérativement contre cette hypertrophie du pouvoir par le Parti socialiste et gagner la majorité à l’Assemblée nationale.

 

Les résultats locaux démontrent toutefois une bonne tenue du Président sortant. D’une terre de mission pour nos idées, il y a encore quelques années, le Gard est devenu une terre de résistance, avec une avance nette pour Nicolas SARKOZY. D’ailleurs, 4 circonscriptions gardoises sur 6 l’ont clairement placé en tête, ce qui donne beaucoup d’espoir pour les échéances législatives. A Nîmes, l’avance de 1500 voix de François HOLLANDE est moins large proportionnellement qu’au niveau national et offre, de toutes les grandes villes de la région Languedoc-Roussillon, le plus faible score au candidat socialiste. J’ajoute que 3 cantons nîmois sur les 6 et de très nombreuses communes de Nîmes Métropole ont préféré le Président sortant.     

           

Je veux à ce titre saluer le départ très digne, plein de panache, de Nicolas SARKOZY, qui a réalisé, en 5 ans, un travail remarquable de réformes, qui a réussi à protéger les Français durant la crise et qui a su donner une nouvelle image de la France à l’étranger. Je suis particulièrement fier de l’avoir soutenu durant son mandat et je lui souhaite une large réussite dans toutes ses nouvelles entreprises. 

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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 09:03

Au lendemain du 1er mai, dans le cadre d’une visite sénatoriale, c’est à la mairie de Jonquières-Saint-Vincent que je me suis rendu. Les maires des communes du canton de Beaucaire y étaient réunis afin d’échanger sur les sujets qui font l’actualité des communes et des intercommunalités. Le Sénat, rappelons-le, étant le représentant constitutionnel des collectivités locales.

Visite-canton-de-Beaucaire.JPG Cinq sur cinq, c’est le nombre des maires qui ont répondu présents. Ce fut également mon degré d’écoute auprès des élus qui m’ont confirmé leur plein accord avec le Schéma départemental conservant la CCBTA dans son périmètre originel. Gilles DUMAS, Maire de Fourques, ajoute qu’il serait bon de faire une pause dans les réformes. Puis très concrètement, fort de sa longue expérience à la tête du syndicat des Digues et de celui de l’assainissement de la Plaine, le Maire de Fourques a salué mon amendement limitant la responsabilité pénale des gestionnaires d’ouvrages, mais sollicite un texte plus protecteur encore, et que les délais d’examens administratifs concernant les travaux de protection soient sensiblement réduits. Ce sur quoi, je me suis engagé.

 

Jacques BOURBOUSSON, Maire de Beaucaire, à son tour, a dénoncé le gâchis économique que constitue le blocage administratif visant la réalisation de la diguette devant améliorer la protection de la plate-forme CNR susceptible d’accueillir de nombreuses entreprises. Pour clore ce chapitre, Jean-Marie GILLES, m’a rappelé son témoignage versé le mois dernier devant la mission sénatoriale sur les inondations dans le Sud Est de la France : « Ma commune de VALLABREGUES est 100 % inondable, même l’agrandissement du cimetière a été un temps refusé… Qu’il soit interdit de mourir, soit… mais que l’on puisse vivre et que le PPRI ne vitrifie pas nos territoires ! ». Sur ces propos imagés, j’ai indiqué que je connaissais bien cette problématique et les excès de l’administration qui, très souvent, refuse de prendre en compte les aménagements lourds et coûteux consentis par les collectivités pour améliorer sensiblement le degré de protection des zones concernées.

 

A la question d’un élu de Jonquières sur la traversée du village par les convois exceptionnels, Antoine MARTINEZ, Conseiller général, a précisé qu’il n’y a pas d’itinéraire bis et que le dossier de la rocade avance avec les premières acquisitions foncières. Après avoir évoqué le dossier du gaz de schiste, au sujet duquel j’ai pu expliquer ma position isolée au sein de mon propre groupe, le débat s’est porté sur la future gare TGV de Manduel. Ainsi, j’ai rappelé que cette gare prévue pour 2020 sera un levier de développement très fort pour la Terre d’Argence et un service de proximité pour la région de Beaucaire qui ne sera plus qu’à 2H40 de Paris et 1H30 de Barcelone. Je regrette que le Département n’adhère pas à ce projet.

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4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 08:51

L’élection présidentielle va engager la France pour 5 ans. Les Françaises et les Français feront, quoi qu’il arrive ce dimanche, un choix. J’ose espérer qu’ils iront voter en masse et qu’ils exprimeront un réel vote d’adhésion pour leur candidat. Le trop court débat d’avant hier leur a permis d’avoir toutes les cartes en main pour bien décider. Chaque électeur porte ainsi dans son suffrage une partie du destin de la Nation. La situation économique extrêmement troublée nécessite d’avoir un Président qui sait dire la vérité, qui sait tenir le cap, qui sait pouvoir porter la voix de la France et négocier dans les sommets internationaux.

 

Mon choix est connu, je voterai pour Nicolas SARKOZY, aussi bien pour son bilan et son programme, que j’ai plusieurs fois défendus, que pour son tempérament. En effet, au-delà du simple slogan, la notion de France forte est bien une manière de gouverner, de résoudre les problèmes, de mobiliser les énergies, de moderniser et faire progresser le pays, de poursuivre les réformes nécessaires, de garder le cap des réductions des dépenses et de la dette, d’appeler à l’effort général, de protéger les plus faibles.

 

Mes racines gaullistes m’obligent à vouloir un président qui s’engage, qui va au combat, devant les difficultés, qui défend ses convictions et, au-delà, l’intérêt général de ses concitoyens. La France n’a certainement pas besoin, au cœur de la tempête, d’un chef de l’Etat en retrait, rejetant les responsabilités de ses prises de décision vers son gouvernement, ne voulant prendre aucun risque, souhaitant préserver un capital de bonnes opinions plutôt que d’oser, de tenter, d’essayer de nouvelles mesures et qui se démène pour chaque Français, quels que soient son camp, son opinion, sa pensée. Nicolas SARKOZY, il l’a démontré durant le mandat qui vient de s’écouler, est vraiment le Président du volontarisme.

 

A l’opposé, François HOLLANDE a fait de l’immobilisme l’une de ses meilleures qualités. Mis à part quelques mesures très symboliques, qui vont encore un peu plus grever les comptes de la France et qui laissent présager pour demain de trop nombreux sacrifices, son programme, très conservateur, ne compte aucun esprit de réforme. Parallèlement, sa personnalité pusillanime, ne correspond certainement pas aux exigences du moment. Je ne reprendrai pas les propos de ses propres amis politiques à son égard, mais le fait qu’il n’aie exercé aucune haute responsabilité, en dehors de la présidence du Conseil général de la Corrèze, apparaît vraiment préoccupant. Son principal fait d’armes est d’avoir dirigé un parti politique durant plus de 10 ans et d’avoir su négocier des alliances politiciennes, avec ses partenaires de la Gauche plurielle. On peut ainsi donner quitus sur un point à M. HOLLANDE, celui de pouvoir animer une majorité impossible, tiraillée entre les roses, les verts, les rouges et les mécontents et maintenant les oranges, avec, donc, pour seul résultat l’inaction. Demain, s’il devient président de la République, il devra composer des alliances hétéroclites et partisanes, tout en cherchant continuellement, le plus petit dénominateur commun, au détriment de l’intérêt supérieur de la France.

 

Lors d’une élection présidentielle, on ne fait pas un choix en creux, pour, je cite certains slogans, « dégager un président ». L’objectif est bien d’engager toute une Nation pour un quinquennat, 5 années décisives, qui vont permettre au pays de faire des choix forts, clairs pour l’avenir. Je ne veux pas croire que la France choisisse l’immobilisme.

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Jean-Paul Fournier